Le potiron, ce légume d'automne mais aussi d’hiver, se cuisine de multiples façons. Riche en bêta-carotènes et antioxydants, doux au goût, stimulant par ses vitamines et fibres, il regorge de bienfaits qu’on ne se lasse de redécouvrir dans différentes recettes de Marie.
Après avoir passé l'épreuve de l'épluchage, à vous les délicieuses recettes au goût d'automne. Sa chair est idéale pour confectionner d’onctueux potages agrémentés de crème fraîche ou de lait de coco. La purée "orange" de mamie (potiron et pommes de terre) que nos petits loustics adorent...en pensant manger une purée Crécy !!! Merci de ne pas dévoiler la supercherie...
Ingrédients pour 6 personnes:
1 petit potiron d'environ 1 kg
1 oignon
20 gr de beurre
200 gr de lardons
100 gr de gruyère râpé
1 pâte brisée ou feuilletée
2 œufs
1 cuillère à soupe de farine
1 cuillère à soupe de crème fraîche épaisse
sel, poivre du moulin
Préparation:
Émincez l'oignon, épluchez le potiron et le couper en petits morceaux. Faire revenir l'oignon avec le potiron dans le beurre, salez, poivrez et mouillez avec un grand verre d'eau.
Laissez cuire 15 minutes à couvert.
Égouttez le mélange et écrasez à la fourchette.
Faites revenir les lardons. Mélangez à la purée de potiron puis ajoutez les œufs, la farine, le gruyère râpé, la crème fraîche. Assaisonnez.
Pour finir, versez le tout sur un fond de pâte puis enfournez four chaud pendant 40 minutes (Th 7 ou 8.)
L'Agglo propose aux habitants du Saint-Quentinois de participer gratuitement à l'atelier de recyclage d'objets qu'elle organise dans ses locaux (58 boulevard Victor Hugo à Saint-Quentin) le 12 mars de 18h à 20h.
Venez vous informer et échanger sur le diagnostic et les enjeux du PLUi-HD le mardi 5 mars à 17h30 à la salle Léo Lagrange d’Harly !
Le Plan Local d'Urbanisme intercommunal (PLUi) est un document d'urbanisme à l'échelle de l’Agglo.
Le PLUi va permettre de définir les possibilités et les conditions d'aménagement, de construction ou d’utilisation de chaque parcelle du territoire. Il s'agit d'un projet commun entre l’Agglo et les 39 communes qui la composent.
Le PLUi viendra remplacer les documents communaux (PLU, cartes communales) en un document unique afin de garantir une politique d'aménagement du territoire globale et cohérente pour les années à venir. Le PLUi est opposable aux demandes d’autorisation d’urbanisme (permis de construire, lotissements, déclarations préalables de travaux…).
Ce document intégrera également deux outils de programmation nécessaires pour l’Agglo du Saint-Quentinois :
le Programme Local de l’Habitat, qui définit les orientations en matière de logement social, d’amélioration du parc de logement privé, de lutte contre la vacance des logements, etc.
le Plan de Déplacements Urbains, qui définit l’organisation de toutes les mobilités à l’échelle du territoire : organisation du réseau de bus, aménagements pour piétons et cyclistes, alternatives à la voiture individuelle, services de mobilité…
L’élaboration du PLUi est l’occasion pour les communes du territoire d’harmoniser leur développement.
Le PLUi s’appuie sur un projet intercommunal construit par les élus, en association avec l’Etat et les partenaires institutionnels et en concertation avec la population.
Pour que cette élaboration soit faite en accord avec les habitants, l’Agglo organise une concertation qui repose sur :
Un registre mis à la disposition du public dans toutes les mairies, au siège de l’Agglo et au Pôle communautaire de Clastres, sur lequel chacun peut y consigner ses observations
Une adresse mail dédiée permettant l’expression de chacun : PLUi2020@casq.fr
Une adresse postale dédiée : Agglo du Saint-Quentinois, Consultation PLUi, DADT, 58 bd. Victor Hugo à 02100 Saint-Quentin
La randonnée pédestre est une activité sportive non traumatisante, accessible à tous qui se pratique de manières différentes. Elle n’apporte que des bénéfices à la santé. À chacun d’adapter sa pratique à ses envies et ses capacités physiques. Appareil photo en main et sac à dos, Isis ouvre aujourd'hui le chemin sur le circuit des trois fermes.
Première étape: la ferme de Courcelles et son marais tout proche.
Direction la route d'Homblières pour rejoindre la ferme du Buisson.
Un beau panorama depuis le point haut du Buisson.
Le clocher de l'église de Fonsomme.
Au premier plan, le silo à grains et le château d'eau de Croix Fonsomme, en arrière plan, le batiment de couleur orange de l'usine du Creuset à Fresnoy-leGrand
Un peu sur notre droite, la chapelle de Beautroux avec son toit de zinc bleuté.
Notre église Saint Géry de Remaucourt, sous un angle peu habituel.
Direction le Tilloy et ses fermes.
Nous laissons derrière nous la ferme du Buisson, sur la route d'Homblières.
Il faut "grimper" pour monter au Tilloy !
Magnifique vallon en approche des fermes. La nature est vraiment belle.
Cavalière au Tilloy.
Beauté singulière d'une cavalière et sa monture. Elle fait corps avec son cheval, tous deux sont en parfaite harmonie sur ce long galop. Un bel instant.
Bientôt le clocher de Morcourt.
Difficile mésange à capturer dans l'objectif.
Retour au village avec une belle harde de chevreuils bondissants.
Une belle rando nature.
Le passage de la harde n'a pas effrayé cette belle aigrette.
Ils les ont sillonnés les petits chemins autour du village depuis une semaine qu'ils sont arrivés. Par chance, le pied au sec et sous le soleil sur des itinéraires compris entre 6 et 8 km. La belle Isis en a aussi profité. La maison va sembler bien vide la semaine prochaine...
Écobuage sur le bord de la rigole.
La végétation est toujours endormie, il est vrai que nous ne sommes qu'en février même si ce beau soleil donne un petit air de printemps à la nature. Attention, l'hiver n'est pas encore terminé.
De nombreux perce-neige tapissent talus et sous bois de leurs fleurs blanches retombantes.
Il n'est pas rare de croiser un petit singe dans les arbres, toujours en quête d'escalades.
Chevreuils dans les labours.
Combien de km parcourus depuis une semaine par l'infatigable Isis ?
Voilà maintenant quatre ans qu'au début du printemps, je vous parle des bienfaits de la sève du bouleau. (Lire les différents articles "cure de sève de bouleau") dans la rubrique " recherche" sur la page d'accueil du blog.
La pratique consiste à prélever ce liquide en perforant l'arbre entre l'écorce et l'aubier, soit un trou de 3 cm de profondeur pour 8 mm de diamètre. (Une mèche à bois sur une perceuse sans fil et le tour est joué.) Une petite canule guide le liquide au goutte à goutte jusqu'au récipient qui le recueille. (cf photos)
Le prélèvement de la sève ne nuit pas à la santé de l'arbre, ou tout au moins à la bonne croissance des bourgeons et jeunes pousses lorsque le travail est fait correctement.
Une cure détoxifiante de sève de bouleau.
Au retour du printemps, boire un grand verre (250 ml) de sève de bouleau à jeun, pendant 3 semaines, nettoie l'organisme. La sève est prélevée quotidiennement sur l'arbre.
Les anciens en consommaient tous les ans à la sortie de l'hiver. La tradition s'est perpétuée dans les pays scandinaves et elle opère depuis quelques années un retour en force en France.
La récolte démarre fin février début mars, lorsque la sève commence à monter dans le tronc et les branches. Elle dure entre 15 et 20 jours et s'effectue sur des arbres d'au moins 30 ans. Le tronc est donc percé sur quelques centimètres de profondeur pour y glisser un tuyau raccordé à un réservoir dans lequel s'écoule la sève. Il est préférable de ne réaliser qu'un seul trou par sujet.
Pour limiter la fermentation, le prélèvement doit être quotidien. Le bidon réservoir rempli de sève ne doit jamais séjourner plusieurs jours en plein soleil. La quantité prélevée sur un arbre peut atteindre 4 ou 5 litres par jour lors du pic de montée de sève. Après la récolte, la sève de bouleau peut être conditionnée dans des bouteilles d'eau minérale par exemple et se conserve alors au réfrigérateur entre 0 et 4°C.
Convaincus des bienfaits de la cure, nous en buvons tous les matins au réveil, pendant 3 semaines. Cette sève est translucide comme de l'eau pure, fraîche et agréable en bouche, elle révèle une saveur très légèrement sucrée qui devient plus forte avec la fermentation du liquide au fil du temps. La sève de bouleau est l'une des plus riches de tous les arbres. Les populations du Nord de l'Europe et d'Amérique du Nord en font une consommation régulière depuis des siècles. Il s'agit véritablement d'une pratique empirique ancestrale.
Les moines de la Trappe des Dombes (dans l'Ain) ont jusqu'à aujourd'hui gardé sereinement cette tradition. Chaque printemps, les moines récoltent la sève de bouleau fraîche pour que les plus anciens retrouvent leurs forces vives et souffrent moins de douleurs articulaires.
Très riche en minéraux et oligo-éléments, la sève de bouleau contient en grande quantité calcium, magnésium, silicium, sodium, phosphore et potassium, en lesquels nous sommes nombreux à présenter des carences de nos jours.
Au printemps, le bouleau produit pendant un mois, 200 litres de sève par jour, c'est donc plus de 6000 litres de sève qui viendront nourrir un seul arbre adulte.
La sève doit être recueillie à l'abri de l'air et de la poussière sur un terrain exempt de pesticides.
La cure terminée, retirer le tuyau de drainage et boucher le trou dans l'écorce du bouleau avec un "mastic" à base d'argile humide mélangée à de la cendre de bois. Très efficace pour obturer de manière étanche le trou percé, la cendre de bois neutralise l'apparition d'éventuelles maladies de l'arbre.