Un endroit insolite de nidification.
Depuis quelques temps déjà, notre voisine Graziella a constaté une activité intense d'oiseaux sur une jardinière suspendue à une avancée de toiture. D'abord la construction d'un nid puis la naissance de petits, rendant délicat l'arrosage des géraniums...
Les adeptes du pot de fleur.
Un arrosage plus tempéré, devient dès lors indispensable pour ne pas menacer cette famille de gobemouche gris, (Musciapa striata ) amateur de géranium qui s'est installée dans un pot destiné à accueillir la plante.
Le gobemouche est un petit migrateur qui hiverne en Afrique du Nord. Il se nourrit essentiellement d’insectes volants de différentes espèces, d’araignées, d’escargots et de vers de terre. Il lui arrive aussi de consommer des petits fruits et des baies.
Il chasse en faisant des sorties rapides depuis un perchoir, à un ou deux mètres au-dessus du sol. Il capture les proies en vol et retourne à son poste pour les dévorer.
Il happe les proies en se déplaçant continuellement d’un perchoir à un autre. Quelques insectes sont capturés sur la végétation, et d’autres sur le sol. Il peut voltiger devant les buissons où il picore des petits fruits et des baies. Il enlève le dard des abeilles et des guêpes en les frappant contre une surface dure.
Le Gobemouche gris est en général solitaire ou en couple, mais aussi parfois en groupes familiaux. Pendant les migrations, on peut les voir en grandes bandes.
La saison de reproduction a lieu entre mi-mai et mi-août.
Le nid du Gobemouche gris est construit essentiellement par la femelle, mais parfois, le mâle lui apporte un peu d’aide. C’est une coupe volumineuse faite de brindilles fines, radicelles, feuilles mortes, mousse et herbes sèches, et l’intérieur est tapissé de matériaux doux tels que poils et plumes.
Le chant du gobemouche.
La saison des moissons.
Au début de l'été, c'est la belle saison des moissons, la dernière phase du travail de l'agriculteur.
Depuis quelques jours, la campagne résonne du ronronnement incessant des machines. Autour de la maison, un après midi aura suffit pour moissonner colza et blé.
Les champs perdent peu à peu leur chevelure dorée après le passage de la machine dans un nuage de poussière.
Quand tu rencontres ton idole internationale de NBA...

Noam et Enzo ont pu réaliser un mini rêve de gamin ce week-end en rencontrant leur idole de Basket International Rudy Gobert au Palais des Sports de Saint-Quentin.
Avec un papa joueur de basket, l'engouement filial pour ce sport est presque "génétique"...
Nos deux petits bonhommes étaient donc heureux et fiers de se faire dédicacer leur ballon de basket et de serrer la main de ce célèbre sportif, originaire de Saint-Quentin, qui joue actuellement en NBA dans l'équipe Utah Zazz à Salt Lake City aux États-Unis.
Le bonheur absolu quand on est passionné !
Séquence d'entrainement comme sur les parquets de la NBA.
Star internationale de NBA, championnat américain de basket-ball, au Palais des Sports de Saint-Quentin.
Rudy Gobert, 25 ans, 2,16 mètres de haut et une envergure de 2,36 mètres quand il écarte les bras, un bel athlète.
Des spectateurs conquis !
Jardin: un essai à renouveler.

Un printemps froid et sec avec encore des gelées le 10 Mai dernier qui ont anéanti les espoirs de récoltes de fruits du jardin. Bien sur les pommes de terre n'ont pas été épargnées par ce coup de froid... malgré un plant choisi de "semi tardive" en l'occurrence la variété "Chérie". Elle produit des tubercules à la peau rouge et à la chair ferme de couleur jaune, de calibre moyen, (idéale pour les cuissons à l'eau ou à la vapeur et se dégustent aussi mijotées ou rissolées...)
A noter aussi un cruel manque d'eau, suivi de l'épisode de canicule, les espoirs de récolte 2017 étaient bien compromis, alors que j'expérimentai cette saison, une nouvelle méthode, de culture de pommes de terre.
Plus de bêche ou socle de charrue pour planter, plus de buttes de terre à réaliser avec la rasette. Le plant est disposé à même le sol travaillé, enrichi de fumier de cheval. Le tubercule reçoit ensuite une pelle de terreau bien humide du composteur de jardin et l'ensemble est couvert au fil des semaines du contenu du bac de la tondeuse à gazon (même si les tontes n'ont pas été très importantes pendant la canicule). Un complément de paillage avec du fumier de cheval fut nécessaire pour laisser le plant à l'abri de la lumière.
Plus besoin d'outil pour arracher les pommes de terre.
Les mains suffisent pour récolter... et les pommes de terre sont propres.
Moins fatigant à cultiver...
Voilà de quoi envisager de renouveler l'expérience l'an prochain dans le grand jardin des enfants.