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Première promenade automnale.
Nous étions partis dans l'espoir de cueillir les dernières mûres sauvages, mamé pensait réaliser une bonne tarte pour le goûter des petits et... des grands. Aussi, plus rien à cueillir, la saison est déjà bien passée surtout après les 38 mm d'eau tombés cette fin de semaine.
Il nous restait l'occasion d'arpenter pâtures et chemins pour prendre un bon bol d'air en compagnie des loulous et de notre fidèle Pixelle.
L'occasion pour Pixelle de courir en liberté, à distance d'une chasse éventuelle.
Je marche seule...
Un kilomètre à pied ...
Une belle boucle d'environ 5 km dans les gambettes, Giulia avance toujours avec une belle énergie.
Sur le chemin du retour.
L’église Saint Éloi de Fresnoy-le-Grand.
Du travail d'artiste.
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Premier brouillard d'automne sur le jardin ce matin.
Souvent, au petit matin, on peut observer des toiles d’araignées se parer de multitudes perles de rosée de différentes tailles. Ce chapelet de gouttes se crée par condensation de la vapeur d’eau de l'air ambiant sur les fibres de soie de la toile d’araignée. Chacune de ces gouttes constitue une réserve d’eau dont s’abreuve l’araignée qui a tissé sa toile, laquelle n’a donc pas pour seule fonction de piéger des proies.
Il est très désagréable de se prendre dans une toile d'araignée collante. La soie d'araignée est pourtant l'un des matériaux les plus étonnants produits par le monde animal. Excrétée par les glandes de l'abdomen de l'araignée sous forme liquide, la soie se solidifie au contact de l'air au fur et à mesure de son tissage. Il faut environ une heure de travail et 30 mètres de fil de soie pour tisser une toile, dont le motif varie selon l'emplacement, l'espèce d'araignée ou le type de proie visé. (sources site Futura-sciences)
Les araignées qui tissent des toiles géométriques sont les araignées orbitèles, qui fabriquent des toiles orbiculaires, et des araignées du genre hyptiotes, qui en construisent des triangulaires.
Elle est constituée d'un cadre porteur généralement vertical (fil suspenseur et fil d'attache), de rayons (allant du cadre vers le centre), d'un moyeu (zone centrale de la toile où certaines orbitèles attendent une proie pendant que d'autres sont réfugiées dans une retraite) et enfin de spirales (spirale sèche ou spirale gluante en soie collante qui seule peut retenir les proies qui viennent heurter la toile en volant) avec une zone libre entre les deux.
Mes "potes iront" sous le garage au frais pour l'hiver...
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La petite histoire...
Le potiron, un fruit d'automne qui traverse les époques.
Il a plus de 10 000 ans, il figure parmi les plantes les plus anciennement domestiquées par l’homme. Il est à la base de l’alimentation de nombreuses civilisations précolombiennes. Le potiron est arrivé en Europe à l’époque de la découverte du nouveau monde. Ce sont les explorateurs portugais qui l’ont rapporté dans les cales de leurs navires. (source site Créaline)
Le jardinier averti sait que son potager peut lui fournir de nombreux légumes frais durant l’hiver, saison à laquelle ils sont adaptés ; c’est le cas des betteraves, carottes, choux, poireaux, mâche, chicorées pain de sucre, etc. Cependant, compléter ses menus avec des légumes de l’été précédent permet de varier les plaisirs gustatifs. Pour cela, les potirons sont bien appréciables à condition de les stocker dans des conditions adaptées. Giulia et ses frères adorent la purée orange de mamé (potiron, pommes de terre), même si la flamiche rencontre moins de succès.
A maturité, feuillages et tiges sont complètement desséchés et les fruits ont une belle teinte orangée.
Ce dimanche matin, c'est jour de récolte, même s'ils auraient pu rester dans le jardin jusqu'aux premières gelées, aussi avais-je besoin de place...
Les pédoncules sont coupés haut pour éviter que la pourriture ne puisse gagner le fruit par ce biais.
Lavés avec une éponge humide puis séchés au soleil (il cogne encore dur) il ne restera plus qu'à les installer au frais sous le garage.
Les potirons doivent être stockés dans un local aéré pas humide dont la température en hiver tourne autour de 15°C. Ils ne doivent pas être disposés sur un sol humide mais plutôt dans des cagettes sur un lit de paille, sans se toucher. Surveillez régulièrement leur évolution afin de ne pas laisser des fruits s’abîmer totalement.
C'est ainsi que l'on mangera du potiron tout l'hiver. Un regret, ne pas avoir semer quelques pieds de butternut au printemps.
Le pignon est terminé !
Même tôt le matin, je n'ai pas eu froid sur mes barreaux d'échelle à travailler au ravalement du pignon Nord de la maison.
Le pignon désignait auparavant la partie triangulaire du mur qui supporte la charpente des combles. Ce terme désigne désormais un mur se trouvant à gauche ou à droite d’une maison lorsque vous êtes en face d’elle. Contribuant à l’esthétique et à la solidité du bâtiment, le pignon requiert un bon entretien.
Le crépi grossier du mur ne m'a pas facilité la tâche lors de la pose du revêtement semi épais acrylique. L'emploi d'un rouleau à long poils n'étant pas possible, c'est à la brosse qu'il a fallu remplir les aspérités du mur. C'est forcément un peu plus long à réaliser mais efficace.