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Une soirée bien conviviale.

Publié le par Bruno

Samedi soir avait lieu le désormais traditionnel repas d'automne du Foyer Rural Remaucourt-Loisirs placé sous le signe de la bonne humeur. Une quarantaine de Remaucourtois ont répondu présent à l'invitation et se sont retrouvés autour de quelques bulles pour l'apéritif dans une ambiance très décontractée.

Une soirée bien conviviale.

Ils ont pu ensuite déguster un excellent repas concocté par P. Dudebout servi par une équipe fort sympathique.

Une soirée bien conviviale.
Une soirée bien conviviale.
Une soirée bien conviviale.
Une soirée bien conviviale.
Montage photos d'Annie

Montage photos d'Annie

Au menu:

Duo de saumon et brochette de Saint-Jacques sauce Chablis suivi d'un trou Normand, vint ensuite le magret de canard au miel, citron vert et sa suite, une salade de saison et son duo de fromage et enfin... le café gourmand !  
 

Une soirée bien conviviale.

Prochain rendez-vous du Foyer Remaucourt-Loisirs le 18 novembre 2016 pour son assemblée générale, suivie de la Soirée Beaujolais.

A bientôt!

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Recette de la semaine.

Publié le par Bruno

La Flammekueche Alsacienne.

Ingrédients pour la pâte:

150 gr de farine, 60 ml d'eau tiède, une pincée de sel et une 1/2 cuillère à soupe d'huile d'olive.

Préparation:

Faire une boule avec tous les ingrédients et l'étaler très finement.

Ingrédients pour la garniture:

1 gros oignon émincé très fin, 200 gr de lardons coupés en lanières, 100 gr de crème fraîche épaisse, 100 gr de fromage blanc et poivre du moulin.

Préparation:

Mélangez crème fraîche et fromage blanc, poivrez. Couvrez la pâte avec la préparation en laissant 2 cm de bord, répartissez l'oignon émincé et les lardons.

Mettre au four très chaud (température maximale) sur une pierre si possible (idéalement dans un four à bois) environ 15 minutes jusqu'à ce que les bords commencent à roussir légèrement.

Recette simple, économique et délicieuse !

Bon appétit !
Recette de la semaine.

La tarte flambée remonte à l’habitude des paysans de faire cuire leur pain toutes les deux ou trois semaines. C’était alors une petite fête et, pour la marquer, la pâte qui restait après la préparation des miches était étalée et recouverte de lait caillé "sürmellich" (plus tard de fromage blanc, d'oignons et de lardons) et le tout était passé pendant quelques minutes au four. Les tartes flambées étaient alors présentées sur une planche à découper en bois de boulanger, et étaient découpées en rectangle. Après avoir rapidement détaché les bords un peu noircis, chacun roulait sa part et la mangeait brûlante avec les doigts. C'est d'ailleurs toujours ainsi que les Alsaciens la mangent, même au restaurant : avec les doigts.

La cuisson traditionnelle du pain dans un four à bois en pierre se prêtait à la cuisson de ces flammekueches : immédiatement après le chauffage du four au feu de bois, celui-ci était trop chaud pour y faire cuire le pain. Il fallait attendre qu'il atteigne la température correcte. La température était à ce moment idéale pour faire cuire les tartes flambées. On repoussait les braises, on glissait la fine tarte, et en 2 à 3 minutes, elle était prête lorsque ses bords léchés par les flammes commençaient à noircir.

Contrairement à l'idée qu'on peut se faire de ce plat typique, la tarte flambée n'est apparue dans les restaurants de Strasbourg qu'à la fin des années 1960, après la mode des pizzerias. Les premiers qui régalaient cette nouvelle spécialité, étaient des restaurants de campagne, notamment du Kochersberg, qui n'ouvraient que les samedis et dimanches soir, la tarte flambée étant un plat simple généralement fait à la maison.

L'essor du tourisme a popularisé ce plat et, aujourd’hui, de nombreux établissements le proposent non seulement dans le Kochersberg, qui passe pour le berceau de la flammekueche, mais aussi dans toute l’Alsace (parfois agrémentée de Munster dans le Haut-Rhin) et aussi de l'autre côté du Rhin, dans le pays de Bade, ainsi qu'en Moselle germanophone où la base n'est pas du fromage blanc mais de la crème. Il existe même des chaînes de restaurants centrées autour de ce produit.

Dans la restauration et dans l'industrie alimentaire, le terme flammekueche s'est généralisé dès les années 1990, tandis que l'appellation "tarte flambée", trop ambiguë, tombait en désuétude. (Source Wikipédia)

On parle même de tarte "flammée" car dans les fours à bois les flammes venaient lécher la tarte d’où son nom.

 

Publié dans Recette de la semaine

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Dejà 4 ans !

Publié le par Bruno

Dejà 4 ans !

Publié dans Divers

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Tout ça "pour des prunes".

Publié le par Bruno

Jour de confiture... Histoire de prunes !

Tout ça "pour des prunes".

Pourquoi dit-on "on a fait tout ça pour des prunes" Autrement dit, pour rien ! enfin si, pour des prunes...

L'expression "pour des prunes" provient du siège de Damas en Syrie lors de la seconde croisade en Juillet 1148. Repoussés en seulement 4 jours, les croisés sont rentrés vaincus et sans gloire. La seule chose qu'ils ramenèrent fut une nouvelle variété de prune: la prune de Damas. Ils ne sont donc allés à la guerre littéralement que "pour des prunes".

Tout ça "pour des prunes".
Tout ça "pour des prunes".
Tout ça "pour des prunes".

Bon en attendant, un dimanche passé derrière les fourneaux, pas pour des prunes, 10 kg de fruits transformés en bonne confiture.

Hum, excellente !

Hum, excellente !

Publié dans Recette " maison "

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Une nouvelle corde à son arc.

Publié le par Bruno

Une nouvelle corde à son arc.

Je ne vous présente plus notre amie Martine, Remaucourtoise et artiste peintre à ses heures, qui depuis peu exerce ses talents au collage papier sur carton ou sur toile.

Cette technique demande une certaine rigueur de composition et beaucoup d'imagination. Martine découpe des papiers dans des magazines, catalogues etc, puis les assemble selon l'inspiration du moment, sans modèle, sur un thème qui lui vient à l'esprit.

Le résultat est bluffant.

Bravo l'artiste.

Ambiance exotique.

Ambiance exotique.

Ambiance aquarium.

Ambiance aquarium.

Petite histoire du collage.

L’origine du collage remonte à l’invention du papier en Chine, il y a plus de deux mille années ! Les papiers étaient alors collés à l’aide de colle végétale ou animale (amidon, peau…).

Néanmoins, les plus vieux collages encore visibles aujourd’hui sont japonais et ne remontent qu’au XIIe siècle. Papiers déchirés de couleurs différentes et collés par juxtaposition, ils décorent des manuscrits. Un siècle plus tard, ce sont les couvertures de livres perses qui s’ornent de végétaux séchés et d’images.

En Europe, le collage acquiert des vertus symboliques et non plus uniquement décoratives : des tableaux religieux intègrent des éléments tels qu’un clou de la croix ou le linceul d’un martyr !

C’est au XVIIe siècle que cette activité devient un divertissement à la mode qui pénètre même les couvents. Peu à peu, le collage et le découpage sont l’affaire de tous : des artisans créant de petits tableaux qui représentent des silhouettes aux artistes musiciens ou écrivains occupant leurs loisirs ainsi, en passant par la décoration ponctuelle de carte postale pour la Saint Valentin ou la Sainte Catherine !

Mais ce n’est qu’au début du XXe siècle, en 1912 exactement, que le collage entre enfin dans le domaine de l’art et non plus seulement de l’artisanat ou du bricolage. C’est grâce aux cubistes Braque et Picasso, bientôt suivis par de nombreux autres, que les tableaux se dotent d’une nouvelle dimension et de volumes les plus inattendus !

Bientôt les futuristes italiens adopteront cette redécouverte puis les dadas et les surréalistes. Depuis cette époque, l’art du collage se généralise, il a sa propre histoire, son évolution entre abstraction et figuration, il s’immisce dans la décoration, la publicité. Sa richesse est inépuisable.

(Sources internet)

Publié dans Talent à découvrir

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