Il faut être motivé pour faire du jardin depuis quelques temps...
Saison après saison, les fortes chaleurs et le manque de pluie chronique se font ressentir de plus en plus au jardin.
Bien sur, il est toujours possible d'arroser mais une fois les citernes à sec, l'eau du robinet ne vaut pas une bonne averse pour les légumes.
L'arrosage ciblé des tomates nous assure quelques belles cueillettes régulières. L'an dernier, le mildiou les avait ravagées en un week-end...
Et avec toutes ces bonnes tomates et cette chaleur, rien de tel qu'une bonne soupe froide, recette de Carlos et Nicole nos amis espagnols, recette publiée sur le blog le 22 août 2017 dont voici le lien ci-dessous... un vrai régal !
Ce soir, c'est soupe froide au menu ! cliquer sur le lien ci-dessous et régalez-vous.
Le salmorejo de Carlos. Le salmorejo est une préparation culinaire traditionnelle espagnole, originaire de la région de Cordoue en Andalousie. Il s'agit d'une crème élaborée à partir de mie d...
Rien n'est encore semé pour l'hiver, la terre est trop sèche, aucune graine ne saurait se développer dans une poussière d'argile.
Les haricots ont séché sur pied. Seuls les géraniums sont beaux mais ils nécessitent une trentaine de litres d'eau à chaque arrosage.
Le thermomètre reste depuis plusieurs jours à 32°C l'après midi.
Quant aux pommes de terre, la qualité est là, c'est la quantité qui fait un peu défaut cette année. Oignons et échalotes devraient bien se conserver pour l'hiver. Les choux, blanchis sont au congélateur et pour conclure je dirai qu'à toute chose, malheur est bon, le manque d'eau nous a évité le développement de maladies cryptogamiques et nous assure ainsi une consommation de légumes de qualité, sains et goûteux.
Je viens de lire un article sur le site cynoconsult.fr, avec lequel je suis en parfaite adéquation avec son auteure, Audrey Ventura éducatrice comportementaliste de Valenciennes.
Oui c'est vrai que ça devient difficile de circuler avec son chien sans le regard accusateur des gens. On paye le fait qu'une minorité ne ramasse pas les crottes, n’éduque pas leur chien... pourtant l'humain qui pourrit son environnement par ses déchets non dégradables (mégots, masques, canettes, etc...) n'est pas autant stigmatisé... c'est triste pour nos loulous qui ont autant le droit de vivre leur vie que l'humain.
Pixelle et notre petite Giulia.
"Interdit aux chiens… Interdit aux chiens même tenus en laisse… Sur les plages, tôt le matin, dans certains parcs, en forêt, autour de certains lacs et moins souvent, dans certains restaurants et hôtels…
D’année en année, nous, qui voyageons avec notre chienne et parcourons les routes de France avec elle, faisons ce constat : elle n’est pas toujours la bienvenue. Nous avons (en plus) le mauvais goût de nous déplacer avec un berger allemand et tous ceux qui accompagnent ce type de chien savent de quoi je parle : le délit de faciès est parfois difficile à supporter. Il relève certains jours de l’héroïsme de prendre les choses avec philosophie. Quand ce n’est pas le lieu lui-même qui nous interdit de franchir la porte et nous oblige à patienter dehors, c’est le regard accusateur des gens qui nous fait clairement comprendre que nous n’avons rien à faire là avec « un chien comme ça ».
Mais je ne suis pas là pour parler de ma chienne, plutôt pour partager mes réflexions sur notre société qui ferme les yeux sur la sur-production, l’abandon, la maltraitance, qui ne réglemente la détention que pour certaines races honteusement stigmatisées mais qui paradoxalement, empêche tous ces chiens nés sur son territoire d’exister en son sein. En somme, « vous pouvez les produire, les vendre, les re-vendre, faire du trafic avec eux, les exploiter, les battre, les envoyer sur la Lune si ça vous chante ou créer du capital avec leur vie mais par contre, on ne veut pas les voir ». Et le constat empire : d’année en année le chien est de moins en moins accepté en France, pourtant l’un des pays qui le produit le plus.
« Quant à nous, les humains qui n’aimons pas les chiens et qui fusillons du regard les personnes qui nous imposent le-leur dans les lieux publics » - ou pire - « nous, les humains qui n’aimons que certaines races de chiens, adoubées et perçues comme politiquement correctes, sachez que cela nous rendra bien service quand cet animal risquera sa vie dans la police, l’armée ou les pompiers pour sauver la nôtre. Sachez que nous le trouverons aussi très utile pour détecter le covid ou nos tumeurs cancéreuses, pour nous protéger des bombes, pour nous retrouver dans une avalanche ou sous des décombres mais vraiment, par contre, ne polluez pas nos vacances en nous les mettant sous les yeux ».
Parce que oui, je précise quand même que dans ces contextes de catastrophe et de maladie où les « gens-qui-n’aiment-pas-les-chiens » seront très soulagés d’en voir un, ce sont précisément les bergers allemands, malinois, hollandais et autres « fauteurs de troubles » qui feront le job. Ceux-là même que vous ne voulez pas voir coexister dans vos parcs parce que vous estimez que « ces chiens-là n’ont rien à faire ici ».
On pourra nous accuser d’user d’un levier facile pour nous élever contre cette contradiction. Mais si c’est jugé « facile » c’est peut-être parce que c’est « un peu vrai ». Le chien des films « oui », le chien-héros « oui », mais le chien « en vrai », beaucoup moins.
À l’inverse, nous, les humains qui voyageons avec nos chiens, nous remercions sincèrement les restaurateurs et les bars, en terrasse comme en salle, qui nous accueillent parfois avec une gamelle d’eau, les logements privés qui précisent parfois dans leur annonce que nos chiens sont les bienvenus, les employés aimables croisés sur la route des vacances qui, malgré les interdictions souvent incompréhensibles font preuve de bon sens et d’indulgence, ne conseillent jamais de laisser le chien dans la voiture ou de le faire attendre seul dehors, mais aussi les gardes, sauveteurs ou animateurs qui, avec clémence, nous ont indiqué les endroits où, tout en étant interdits, nos chiens ne seront pas surveillés et donc « pas vu-pas pris », etc. bref, tous ces humains qui nous rendent les vacances un peu moins compliquées avec notre chien et surtout qui nous indiquent que oui, l’humain est encore capable de faire la part des choses et de communiquer plutôt que de tout interdire.
Enfin, il est évident que cet article légèrement « coup de gueule » ne parle pas des lieux où le chien est interdit pour des questions de préservation des espèces. Nous ne sommes pas idiots. La plupart des gens qui aiment les chiens aiment en général tous les animaux et la nature elle-même. Mais aussi, nous n’oublions pas que nous, humains respectueux accompagnés d’un chien, payons au prix fort et un peu trop souvent le tribu pour les autres, la minorité envahissante et plus visible que nous, celle qui ne respecte rien et ne sait pas lire un panneau « Merci de ramasser ».
Auteure Audrey Ventura, éducatrice comportementaliste de Valenciennes
Plage en Andalousie, heureuse Isis en liberté.
S’approvisionner au supermarché sans laisser son chien à la maison ou attaché à l’entrée du magasin, c’est possible en Italie !
La chaîne de supermarché Conad autorise les toutous dans ses 334 magasins depuis janvier 2016. Elle a même investi dans des chariots spécialement aménagés pour leur confort. Petits et moyens gabarits peuvent être installés à l’avant du chariot et sont ainsi isolés des achats tout en étant protégés des grilles coupantes. Quant aux grands chiens, ils sont admis… en laisse !
Mi-avril 2016, c’est un magasin de Luino, dans le nord du pays qui a emboîté le pas de la chaîne Conad, grâce à son gérant. Attristé de voir les chiens attachés à l’entrée du bâtiment attendant leurs maîtres, Gianfranco Galantini lui-même maître de plusieurs chiens a décidé de les laisser entrer et a commandé quelques-uns de ces fameux chariots. « Les animaux se comportent très bien et sont très dociles », explique-t-il au journal local Varese News (07/04/2016).
Adorable Isis au supermarché en Belgique.
Un habitant frontalier avec l'Italie témoigne:
"Si nous pouvions agir et faire évoluer cet Article 125-1 du Code de Santé Publique, cela pourrait diminuer le nombre d'abandons, de chiens morts dans les voitures, etc.
J'ai la chance d'habiter près de la frontière italienne, et nous apprécions de faire nos courses dans les supermarchés Leclerc, Conad, Coop, et même Carrefour, en compagnie de notre chien. Il s'agit d'un Yorshire de taille moyenne, et transporté dans un caddie, il sait se faire discret.
Cette autorisation est complètement entrée dans les mœurs, et a contribué à limiter les abandons de chiens. A partir du moment où cette mesure a été plutôt bien accueillie, pourquoi ne pas tenter de faire évoluer les lois au niveau Européen ?
S'il faisait beau dans les airs pour les pilotes, au sol, c’était une chaleur suffocante qui régnait aux abords du terrain d'aviation.
Démonstration équipe de voltige de l'Armée de l'Air.
Emiliano, le pilote, Danielle, l'acrobate.
Une démonstration époustouflante, tout doit être millimétré quand Danielle danse sur les ailes de l'avion à plus de 150 km/h.
C’est lors d’un meeting aérien que les deux tourtereaux ont eu le coup de foudre. " Nous nous sommes rencontrés pour la première fois en 2011, se souvient Emiliano. À cette époque, Danielle faisait du wing walking avec un groupe d’Anglais. Moi, j’étais pilote de voltige. Nous sommes en couple depuis 2014 et travaillons ensemble depuis 2016. " La folle idée de Danielle de se déplacer sur une aile d’avion en plein vol remonte à son adolescence. " Elle avait 18 ans, retrace son mari. Lors d’un meeting aérien avec ses parents, elle a vu une femme faire du wing walking. Elle s’est dit, c’est ça que je veux faire ! " (extrait du 3 juin 2022 Le Parisien)
Le Dassault Flamant MD 311
L'Extra 330SC.
Benoit Dierickx dans un Bücker 133 Jungmeister.
La Team Raven, patrouille acrobatique anglaise sur des Van's RV8